samedi 12 septembre 2015

Chapitre 7 – 1800 à 1821 – De l’Empire à la mort de Napoléon

Contenu du chapitre 7

Les affaires de Beaupied au Café de la Régence sont florissantes  – Une partie d’échecs par équipe dans l’Ambigu de Peltier – La renaissance du Café de la Régence – Vatré succède à Beaupied – L’automate Turc joueur d’échecs animé par des maîtres de la Régence – Les anecdotes de Mouret – La Bourdonnais récupère le sceptre des échecs – Masson succède à Beaupied


Illustration de pièces à la française ou "Directoire" provenant du livre : "Elémens théoriques et pratiques du jeu des échets – Paris 1810 – Louis F.J. Hocquart"

Remarquez l'orthographe particulière du mot "échecs". Hocquart donne quelques explications :

"(…) Échec au singulier, prononcez le « c » comme s’il y avait E-chék ; Echecs au pluriel, prononcez Echets. Sarasin, Mezeray et l’abbé de Choisy écrivent Echets comme on le prononce, j’ai adopté ici leur opinion."

Hocquart donne également une information intéressante sur le Café de la Régence sous l'Empire. 

"(…) Le café de la Régence est encore le lieu où se rassemble actuellement le peu de personnes qui, à Paris, jouent aux échets ; le nombre augmentera à mesure que la saine morale, les arts et les sciences reprendront leur empire ; Espérons que cette époque est peu éloignée, que ce lieu recouvrera son ancienne splendeur, et que les jeunes gens y reviendront s’exercer en présence du buste de Philidor."


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